All official European Union website addresses are in the europa.eu domain.
See all EU institutions and bodiesFaites quelque chose pour notre planète, imprimez cette page que si nécessaire. Même un petit geste peut faire une énorme différence quand des millions de gens le font!
L’Union européenne (UE) s’est fixé un ensemble d’objectifs environnementaux et climatiques parmi les plus ambitieux du monde, couvrant un vaste éventail de domaines, depuis la qualité de l’air, la gestion des déchets et la qualité de l’eau jusqu’à l’énergie et aux transports. En se fondant sur les données communiquées par les États membres, l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) permet de suivre les progrès accomplis et de recenser les domaines nécessitant des efforts supplémentaires. Depuis sa création il y a 25 ans, l’AEE ne cesse de développer ses travaux sur les données et les connaissances contribuant à l’élaboration des politiques en Europe.
L’eau est constamment en mouvement. Elle facilite également le mouvement des navires, des poissons et de tous les animaux et végétaux qui vivent dans l’eau. La santé des rivières, des lacs et des océans doit prendre en compte les mouvements de l’eau à travers les frontières géopolitiques. De ce fait, la coopération régionale et internationale est profondément enracinée dans les politiques de l’Union européenne concernant l’eau depuis les années 1970.
Malte est l’un des 10 pays au monde les plus affectés par un déficit en eau. Que faire lorsque la nature ne satisfait qu’à la moitié des besoins en eau de votre population? Malte «produit» de l’eau propre et s’efforce de veiller à ce qu’aucune goutte ne soit gaspillée. Nous avons discuté avec Manuel Sapiano, de l’Agence de l’énergie et de l’eau de Malte, des nouvelles technologies, de l’eau pour les ménages et l’agriculture, et des eaux de baignade intactes qui entourent l’île.
Nous considérons souvent un approvisionnement fiable en eau potable comme normal. Nous ouvrons le robinet et de l’eau potable jaillit. Nous l’utilisons et l’eau «sale» s’évacue dans la canalisation. Pour une grande majorité d’Européens, l’eau que nous utilisons à la maison est potable et disponible 24 h/24. Le bref moment entre le robinet et la canalisation ne représente qu’une infime partie de son long voyage. Gérer l’eau dans une ville va au-delà des simples réseaux publics de distribution d’eau. Le changement climatique, l’expansion urbaine et les altérations des bassins hydrographiques sont autant de facteurs qui peuvent donner lieu à des crues plus fréquentes et plus dévastatrices, laissant les autorités face à un problème toujours plus grand.
La nature et l’eau vont de pair. C’est de ce postulat qu’est né le programme néerlandais «Ruimte voor de Rivier» (littéralement, «de la place pour le fleuve» en français). Cette approche de retour à l’essentiel fait désormais office de modèle mondial en termes de gestion de l’eau et de protection contre les risques élevés d’inondations dues au changement climatique. Les récentes inondations les plus graves de 1993 et 1995 ont donné lieu à une prise de conscience, selon M. Willem Jan Goossen du ministère néerlandais de l’infrastructure et de la gestion des eaux. Nous lui avons demandé ce que représente le programme en termes de protection durable contre les crues.
Le changement climatique accroît la pression sur les masses d’eau. Des inondations et sécheresses à l’acidification des océans et à l’élévation du niveau des mers, les incidences du changement climatique sur l’eau devraient s’intensifier dans les prochaines années. Ces changements suscitent des mesures en Europe. Les villes et les régions s'adaptent déjà, en ayant recours à des solutions plus durables, fondées sur la nature, afin d’atténuer les conséquences des inondations et en utilisant l’eau de manière plus intelligente, plus durable, pour nous permettre de vivre avec les sécheresses.
Le plastique entrant dans la production de masse a été introduit autour du milieu du siècle dernier et présenté comme un matériau miracle en raison de ses propriétés: léger, façonnable, durable et résistant. Depuis lors, la production de plastique a augmenté rapidement, conférant de nombreux avantages à la société. Aujourd’hui, soit près de 70 ans plus tard, la production annuelle de plastique est de plus de 300 millions de tonnes, et nous avons commencé à comprendre le véritable héritage que nous laissent ces produits: ils ne «disparaîtront» jamais entièrement de l’environnement.
La vie dans les masses d’eau douce et les mers régionales d’Europe se porte mal. Le mauvais état des écosystèmes a une incidence directe sur bon nombre d’animaux et de végétaux qui vivent dans l’eau, et affectent d’autres espèces ainsi que les humains qui dépendent d’une eau propre. L’état environnemental des mers de l’Europe est inquiétant, principalement en raison de la surpêche et du changement climatique, tandis que les masses d’eau douce souffrent d’un excès de nutriments et d’habitats dégradés. La pollution chimique dégrade les eaux terrestres comme les eaux marines.
Les Européens utilisent des milliards de mètres cubes d’eau chaque année, non seulement pour boire, mais également pour l’agriculture, la fabrication, le chauffage et le refroidissement, pour le tourisme ou encore d’autres secteurs de services. En présence de centaines de lacs d’eau douce, de fleuves et de sources d’eaux souterraines, l’approvisionnement en eau en Europe pourrait sembler inépuisable. Cependant, la croissance démographique, l’urbanisation, la pollution et les conséquences du changement climatique, notamment des sécheresses persistantes, font peser une énorme pression sur les approvisionnements en eau en Europe et sur leur qualité.
L’eau couvre plus de 70 % de la surface de la Terre. C’est dans l’eau que la vie sur Terre a commencé; il n’est, dès lors, pas étonnant que tous les êtres vivants de notre planète bleue aient besoin d’eau. L’eau est, en effet, beaucoup de choses: elle est un besoin vital, un lieu d’habitation, une ressource locale et mondiale, un couloir de transport et un facteur de régulation du climat. Par ailleurs, au cours de ces deux derniers siècles, elle est devenue la destination finale de nombreux polluants rejetés dans la nature et une nouvelle source riche en minéraux à exploiter. Pour continuer à profiter des avantages d’une eau propre et d’océans et de cours d’eau sains, nous devons radicalement changer notre façon d’utiliser et de traiter l’eau.
De nombreuses personnes associent toujours le mercure aux thermomètres, et la plupart d’entre elles ont également conscience de sa toxicité. En Europe, en raison de sa nocivité, le mercure est peu à peu retiré des produits. En revanche, il est toujours très présent dans l’air, l’eau, les sols et les écosystèmes. Le mercure pose-t-il toujours problème et quelles sont les solutions apportées? Nous avons interrogé M. Ian Marnane, expert de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) dans le domaine de l’industrie et de l’utilisation des ressources durables.
Le changement climatique est l’un des plus grands défis de notre temps. Ses effets se font sentir partout dans le monde, avec des répercussions sur les personnes, la nature et l'économie. Pour atténuer le changement climatique, nous devons réduire considérablement les émissions mondiales de gaz à effet de serre. Traduire cet objectif global en mesures concrètes nécessite de comprendre un système complexe. Ce système relie les émissions provenant de différentes sources aux impacts nationaux et régionaux, à la gouvernance mondiale et aux avantages connexes potentiels. L'Agence européenne pour l'environnement s’efforce d’améliorer en permanence les connaissances nécessaires pour concevoir des mesures efficaces sur le terrain.
La Commission européenne a récemment adopté un ensemble de propositions législatives visant à stimuler la finance durable dans l'Union européenne (UE). Les propositions de la Commission s'appuient sur les recommandations du groupe d'experts de haut niveau sur la finance durable, composé d'experts de la société civile, du secteur financier, du monde universitaire et des institutions européennes et internationales. Nous nous sommes entretenus avec le représentant de l'Agence européenne pour l'environnement (AEE) au sein du groupe d'experts, Andreas Barkman, responsable des conseils stratégiques en matière de changement climatique et d'énergie.
L'élaboration de la politique environnementale n'est pas une tâche facile. D'un côté, les Européens veulent profiter des avantages d'une économie qui fonctionne bien. De l’autre, nos choix de mode de vie engendrent des coûts sanitaires et environnementaux importants. Une compréhension systémique de la façon dont la nature, l'économie et la santé humaine sont interconnectées est essentielle pour identifier les meilleures options disponibles en terme de politiques. L'Agence européenne pour l'environnement vise à soutenir l'élaboration des politiques en fournissant exactement ce type de connaissances.
L’Agence européenne pour l’environnement (AEE) a récemment publié son rapport annuel sur le mécanisme de rapport sur les transports et l’environnement (TERM), qui est axé cette année sur l’aviation et sur le transport maritime. Ces deux secteurs affichent une croissance rapide, ce qui a également une incidence sur l’environnement, en particulier les émissions. Nous avons demandé à Anke Lükewille, spécialiste de la pollution de l’air à l’AEE, de nous présenter les points saillants du rapport TERM de cette année.
L’Europe recueille un nombre croissant de données qui améliorent notre compréhension de l’environnement. Les données d’observation de la Terre obtenues grâce au programme Copernicus de l’Union européenne présentent de nouveaux défis et opportunités pour l’approfondissement de notre connaissance de l’environnement. En combinant des données récentes du programme Copernicus à notre base de connaissances, l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) vise à donner aux décideurs politiques et aux citoyens de toute l’Europe les moyens de prendre des mesures permettant de relever les défis locaux, nationaux et mondiaux.
L’Union européenne (UE) s’est engagée à atteindre plusieurs objectifs climatiques et énergétiques visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, à améliorer l’efficacité énergétique et à stimuler l’utilisation des sources d’énergie renouvelable. Comment l’AEE suit-elle les progrès réalisés par les États membres de l’UE pour atteindre ces objectifs? Nous avons demandé à Melanie Sporer, experte de l’AEE dans le domaine de l’atténuation du changement climatique et de l’énergie, d’expliquer le rôle de l’Agence dans cette tâche. Elle a également présenté les progrès annuels dans le dernier rapport «Trends and Projections» [Tendances et Projections].
La législation, la technologie et l’abandon des combustibles fossiles très polluants dans de nombreux pays ont contribué à améliorer la qualité de l’air en Europe au cours des dernières décennies. Cependant, beaucoup de gens continuent de pâtir de la pollution atmosphérique, surtout dans les villes. Compte tenu de sa complexité, la lutte contre la pollution de l’air exige une action coordonnée à plusieurs niveaux. Afin d’impliquer les citoyens, il est essentiel de leur fournir des informations opportunes d’une manière accessible. L’indice européen de la qualité de l’air, mis en place récemment par nos soins, répond précisément à cet objectif. L’amélioration de la qualité de l’air ne serait pas seulement bénéfique pour notre santé, mais pourrait aussi contribuer à la lutte contre le changement climatique.
La faune et la flore marines, le climat mondial, notre économie et notre bien-être social dépendent tous de mers et d’océans sains. En dépit de certaines améliorations, nos évaluations indiquent que la façon dont nous exploitons actuellement les mers et les océans d’Europe et au-delà n’est pas durable. Le changement climatique et la compétition pour les ressources naturelles s’ajoutent aux pressions exercées sur le milieu marin. Les politiques et mesures européennes pourraient entraîner des améliorations plus sensibles si leur application se fondait sur une approche de gestion écosystémique et si elles étaient soutenues par un cadre de gouvernance mondiale des mers et des océans.
L’exposition à des substances chimiques nocives a des incidences sur la santé humaine et l’environnement. Alors que la production mondiale de substances chimiques est en plein essor et que de nouveaux produits chimiques sont mis au point et commercialisés, comment savoir quels produits sont considérés comme inoffensifs? Nous nous sommes entretenus avec Xenia Trier, spécialiste des substances chimiques auprès de l’AEE, qui a répondu à nos questions concernant une utilisation sans danger des substances chimiques en Europe et ce que l’Union fait pour réduire leurs effets secondaires potentiels.
For references, please go to https://eea.europa.eu./fr/articles/all-articles or scan the QR code.
PDF generated on 22/11/2024 21:35
Engineered by: L'équipe Web de l'AEE
Software updated on 26 September 2023 08:13 from version 23.8.18
Software version: EEA Plone KGS 23.9.14
Actions de document
Partager avec les autres